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L’industrialisation de l’État accélère au tournant de la moitié du 20e siècle avec l’établissement de nombreuses usines, notamment dans la région de Valencia, ce qui lui confère dès lors, le rang de capitale industrielle du pays. En 1710, les villages indiens de Guacara, Los Guayos et de San Diego sont élevés au rang de pueblos, ce qui dénote la pénétration de populations non indigènes, espagnoles et métis. Cette guerre, qui durera dix ans, est d’abord marquée par la chute de Puerto Cabello aux mains des royalistes, suivie d’importantes défections dans les rangs indépendantistes et de défaites décisives contre les armées espagnoles dirigées par Domingo Monteverde, épisodes qui conduisent Miranda à signer la capitulation de San Mateo le 25 juillet 1812. Le 24 juin 1824 a lieu la célèbre bataille de Carabobo entre Espagnols et indépendantistes. En 1856 est promulguée la loi de division territoriale de la République qui entérine la composition de la province de Carabobo avec les cantons de Valencia, Puerto Cabello, Montalbán et Ocumare. Avec la loi des aéroports en 1927, la création d’un aéroport pour la ville de Valence est considérée comme urgente et une zone pour hydravions a été installé dans le port de Valence. Les autorités tentent d’empêcher la transaction en imposant de lourdes taxes, mais celle-ci a tout de même lieu, Hawkins ayant menacé de détruire la ville en cas d’échec. En 1568, Hawkins contraint les habitants de la ville à acheter un nouveau contingent d’esclaves africains. En 1564, des pirates britanniques dirigés par le navigateur anglais John Hawkins (1532-1595) vendent des marchandises aux colons de Borburata. En 1567, c’est au tour des pirates français conduits par Nicolas Vallier de pénétrer dans Borburata et d’en chasser ses habitants, provoquant son dépeuplement. Cette année-là le 17 avril, des pirates français assiègent Borburata pendant six jours, provoquant le départ de nombreux habitants qui fuient vers Valencia.
Avant l’arrivée des Européens, l’épicentre de la culture indigène amérindienne de l’actuel Venezuela est situé autour du lac de Valencia. Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Religion in Venezuela » (voir la liste des auteurs). Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Anexo:Gobernador de Carabobo » (voir la liste des auteurs). Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Estado Carabobo » (voir la liste des auteurs). Le gouvernement espagnol confie alors à la Compagnie Guipuscoane de Caracas, créée en 1728 par le roi Philippe V d’Espagne le monopole du commerce à Puerto Cabello contre l’accomplissement de l’administration du lieu, tâche que la couronne impériale ne pouvait accomplir seule. En 1694, le gouverneur Francisco Berroterán décide de déclarer les peuplements de Guacara, Los Guayos et de San Diego comme « villages indiens » ou doctrinas, en espagnol. Cette nouvelle province est alors constituée des cantons de la capitale Valencia, Puerto Cabello, Ocumare, San Carlos, Nirgua, El Pao, San Felipe, Tocuyo, Quibor, Barquisimeto, Carora et Yaritagua. Pendant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs bâtiments de guerre appartenant à l’Axe, notamment allemands et italiens réfugiés à Puerto Cabello sont sabordés pour éviter qu’ils ne tombent dans les mains des Alliés, Américains notamment. En 1804, les membres de l’expédition royale philanthropique de vaccination, dite « expédition Balmis » du nom de son promoteur et directeur le médecin Francisco Javier Balmis (1753-1819), destinée à la promotion de la vaccination anti-variolique qui fait des ravages dans les colonies espagnoles, débarquent à Puerto Cabello.
Le cuirassé anglais Charybdis et le croiseur allemand Vineta bombardent les forts de Puerto Cabello. En 1806, des prisonniers, la plupart américains et membres de l’expédition ratée de Francisco de Miranda contre la couronne espagnole, sont pendus sur la place principale de Puerto Cabello. En 1800, l’explorateur allemand Alexandre von Humboldt visite la région, Puerto Cabello et Valencia notamment, et laisse une description précise de la faune, de la flore, de la géologie et des sociétés humaines locales. À cette époque, Valencia compte environ 6 à 7 000 habitants. En 2011, sa population s’élève à 2 245 744 habitants. Il soumet les colons puis s’engage vers les rives du lac de Valencia dont les habitants se réfugient sur les îles. En 1624, les autochtones fondent Guacara sur la rive septentrionale du lac de Valencia tandis que le siècle est encore marqué par des attaques de pirates anglais et français sur la côte atlantique, notamment en 1659 quand l’Anglais Myngs met à sac les villes de Cumaná, Puerto Cabello et Coro, et en 1677, Valencia est mise à sac par les Français qui brûlent l’hôtel de ville, incendie qui conduit à la destruction d’un grand nombre de documents importants. Enfin après de nombreuses campagnes, les dernières troupes espagnoles retranchées à Puerto Cabello évacuent la ville le 10 novembre 1823, marquant le retrait définitif de l’Espagne au Venezuela. L’escalve Andrés López del Rosario dit « Andresote » conduit deux révoltes en 1730 et 1733 pour maintenir un commerce avec les Antilles néerlandaises, tandis qu’en 1743, l’amiral britannique Charles Knowles assiège La Guaira dans l’actuel État de La Guaira et Puerto Cabello promettant de libérer les créoles contre l’oppression et le monopole de la compagnie. Des œuvres se trouvent du côté du pont surplombant Marques del Turia, sculptures représentant la renommée ou la sagesse et le Labrador (agriculture), et du côté surplombant la Plaza de Zaragoza, des sculptures représentant le pêcheur ou le marin et à Valence ou à la femme valencienne.
Depuis les années 1990, certains quartiers de la ville sont investis par des jeunes artistes urbains valenciens comme Escif, Julieta XLF, David de Limon et la Nena Wapa Wapa qui ont fait leurs études à la faculté des Beaux-Arts San Carlos de l’Université polytechnique de Valence ou des artistes venus d’ailleurs comme Disneylexia (Chili), Felipe Pantone (Argentine) ou Hyuro (Argentine). Spécialiste des peintres espagnols tels que Juan de Juanes et le peintre valencien Joaquín Sorolla, Garín Llombart a été l’inspirateur et le responsable de l’exposition à Valence des peintures de Sorolla, Vision of Spain, de la Hispanic Society de New York. La AFA tente alors de standardiser les règles de jeu pour les équipes évoluant dans le nord du New Jersey ainsi que dans le sud de l’État de New York. Depuis les années 2000, la population de l’État est en constante augmentation pour deux raisons principales outre l’accroissement naturel : l’arrivée des victimes après la tragédie de Vargas de 1999 et l’immigration en provenance des autres pays d’Amérique du Sud. Pedro arrive de manière définitive en équipe première en provenance de la Masia. Pour ce second tour, les vainqueurs amateurs du premier tour sont confrontés à une équipe professionnelle de deuxième ou troisième division de la même zone géographique. C’est au début des années 1800 que les premiers colons européens, qui viennent pour la plupart des Bahamas, s’installent dans la zone. En 1881, le gouvernement national réforme les divisions politiques territoriales du pays, alors constitué de provinces, pour créer des État fédérés, formant désormais l’État de Carabobo, comprenant encore Nirgua, aujourd’hui dans l’État d’Yaracuy. L’explorateur et conquistador Alonso de Ojeda est le premier Européen à reconnaître les côtes du territoire qui est aujourd’hui le Carabobo dès 1499. Les Indiens de la région sont rapidement soumis et répartis dans des exploitations agricoles appelées encomiendas dès 1547. Villegas fonde Borburata en 1548. En 1551, le conseil écrit au roi d’Espagne et lui précise que tous les Indiens de la région ont été « répartis ».
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